2H30 d'enchantement
Cet opéra dirigé par Spinosi et mis en scéne par Emilio Sergi est une vraie réussite.Un orchestre précis et nuancé accompagne une mise en scéne créative. Dans ce cadre évoluent avec un plaisir manifeste et pour notre plaisir des chanteurs incontestablement talentueux. Ceux ci, démontrant ainsi toute leur potentialité, disposent d'une technique aboutie entièrement au service de l'oeuvre. Par exemple, le Ténor interprétant le rôle du comte Almaviva, chante d'une voix puissante et douce à la fois et déroule ses vocalises avec légéreté: envoutant! Même pas très bien placé j'ai eu le sentiment de partager les mêmes émotions que ces artistes. Merci à ceux qui ont permis cette expérience!
Adrien (chanteur)
Cet opéra dirigé par Spinosi et mis en scéne par Emilio Sergi est une vraie réussite.Un orchestre précis et nuancé accompagne une mise en scéne créative. Dans ce cadre évoluent avec un plaisir manifeste et pour notre plaisir des chanteurs incontestablement talentueux. Ceux ci, démontrant ainsi toute leur potentialité, disposent d'une technique aboutie entièrement au service de l'oeuvre. Par exemple, le Ténor interprétant le rôle du comte Almaviva, chante d'une voix puissante et douce à la fois et déroule ses vocalises avec légéreté: envoutant! Même pas très bien placé j'ai eu le sentiment de partager les mêmes émotions que ces artistes. Merci à ceux qui ont permis cette expérience!
Adrien (chanteur)
Un spectacle inédit et vivant pour le célèbre opéra de Rossini, Le barbier de Séville, mis en scène par E. Sagi, sous la direction musicale de Jean-Christophe Spinosi. Nous sommes plongés dans l'esprit de Séville grâce aux décors et aux costumes des danseurs de Flamenco. Un spectacle plein de fraîcheur, renversant et drôle; le public en repart ravi en chantonnant ses arias.
Anya (violoncelliste)
extraits de quelques autres critiques:
La mise en scène apporte dynamisme et vie tout au long de la pièce. En effet, les décors évoluent au rythme de la musique avec la participation des personnages. D'autre part, la présence des danseurs sevillans apporte élégance et fluidité. Durant le première acte, les décors de vielles rues de Séville ainsi que les personnages sont en noir et blanc métaphore de la vie morne de l'héroïne Rosina. Au cours de l'acte II, le metteur en scène intègre progressivement de la couleur pour finir dans une explosion de couleurs où le flamenco domine. J'ai trouvé cet opéra très amusant et vivant. J'ai eu plaisir à entendre l'orchestre jouant parfois avec fantaisie, des notes de Carmen, ainsi que les voix extraordinaires des jeunes chanteurs. Belinda (musicienne)
Les chanteurs interprètent avec brio leur rôle: la magnifique voix du ténor du comte Almaviva (Bogdan Mihai) éblouit les spectateurs, tout comme la puissance de celle de Bazile (Nicolas Courjal) nous impressionne sur le célèbre air de la calomnie... Dans l'ensemble, ce spectacle se révèle de qualité et séduira sans nulle doute les amateurs d'opéra. Luce (musicienne)
"Emilio Sagi revisite la mise du Barbier de Séville, Il Barbiere di Seviglia, joué au Chatelet durant le moi de Janvier. Si Coline Serreau avait choisi des décors rappelant l'Espagne d'antan, ils ne restaient pas néanmoins ennuyeux et banals. On s'en lassait vite. Au contraire, en partant sur un code de couleur particulier (blanc menant progressivement au noir pour finir en un arc-en-ciel de couleurs ) et avec des décors épurés mais stylisés, Emilio Sagi faisait un pari, qu'il a, ma foi, remporté haut la main. Tout ces changements de costumes et de couleurs tenaient en éveille le spectateur. Et si pour certains, la scène finale est déplaisante par le nombres trop importants de couleurs "flashies" portées par les danseurs, on peut trouver cela approprié pour un "happy end". Mathilde (soprano, pianiste et harpiste)
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